Notre politique
Nous accordons une attention croissante à la provenance de nos articles et entendons par là investir dans l’économie belge. Nous négocions également des contrats avec des fournisseurs belges pour d’autres pays Lidl en Europe. C’est ainsi que nous favorisons l’exportation de produits belges.Une foule de produits de notre assortiment permanent portent déjà notre drapeau. Pensez à la viande fraîche, au lait Milbona, au chocolat Perle d’Or ou encore aux pralines Delicieux. Nos semaines thématiques mettent également l’accent sur les produits locaux, comme le font par exemple les semaines régionales ou les semaines du marché.
De la sorte, non seulement nous soutenons l’économie belge, mais nous limitons également l’impact du transport sur l’environnement.
Notre objectif
Lidl Belgique veut poursuivre l’extension de son assortiment de produits belges. En se concentrant sur des produits frais et non transformés, des spécialités locales et en s’engageant dans un partenariat solide et durable avec nos fournisseurs belges.
Actuellement, 50% de nos légumes et 20% de nos fruits portent les trois couleurs de la Belgique.
En ce qui concerne la viande, les œufs et le lait, nous atteignons presque le beau chiffre rond de 100%.
Aux origines de nos produits
Beaucoup d’espace, peu de médicaments
Leonard veille à ce que ses bêtes puissent passer le plus de temps possible en pâture dans une réserve naturelle qui occupe non moins de 20 hectares. Lorsqu’elles sont forcées de rentrer à l’étable, celle-ci est toujours pourvue d’une couche de paille suffisante pour leur assurer le meilleur confort.
En outre, Leonard limite au minimum toute forme de médication pour bovins et se passe d’antibiotiques à usage préventif.
Une alimentation variée
Les différentes sortes d’herbe, de pousses sauvages et de plantes nourrissantes du pâturage assurent la variété de l’alimentation des bovins. Leonard cultive en outre la majorité des aliments destinés à ses animaux. Les eaux souterraines utilisées font donc chaque année l’objet de contrôles qualité extrêmement minutieux.
Dans la serre, des centaines de bourdons assurent la pollinisation des plants de tomates, tandis que des réduves empêchent les insectes et parasites vecteurs de maladies d’endommager les plants.
Dans la mesure où les tomates ont besoin d’un apport thermique supplémentaire pour pouvoir pousser sous le climat belge, Erik a investi dans un système de cogénération au gaz. Cette installation alimente l’ensemble de la serre en chaleur et en électricité. Le CO2 ainsi généré est quant à lui récupéré pour nourrir les plants de tomates. Des housses isolantes gardent la chaleur à l’intérieur durant la nuit tout en laissant le soleil faire son œuvre en journée.
Une fois toutes les tomates cultivées, Erik veille enfin à ce que tant les plants de tomates que le substrat de coco dans lequel ils poussent soient transformés en compost.
Une utilisation durable de l’eau
L’eau qu’Yves utilise pour ses cultures est puisée dans le sous-sol de la région et subit chaque année des contrôles stricts en matière de qualité. Elle est ensuite réutilisée en continu jusqu’à ce que les chicons puissent être récoltés.
Cette eau est ensuite compostée avec les feuilles de chicon superflues pour être transformée en humus, qui servira ensuite d’engrais dans les champs.
Une faible consommation d’énergie
Pour réduire sa consommation d’énergie, Yves a décidé d’agir à la source et a donc investi dans un entrepôt à l’isolation supérieure. En y ajoutant un système de régulation séquentielle du circuit de refroidissement et une cabine électrique moderne, il obtient dès lors une belle réduction sur la facture d’électricité.
Les cheminées sur le toit aspirent l’air extérieur pour réguler la température intérieure. Ce processus entièrement automatisé passe par une commande PLC qui règle également le taux d’humidité de l’air dans le bâtiment de culture.